Entreprises de travaux d’électricité à vendre en Auvergne-Rhône-Alpes

Le secteur des travaux d’électricité en Auvergne–Rhône-Alpes joue un rôle essentiel dans l’économie régionale, porté par une forte dynamique de construction, un tissu industriel dense et les besoins croissants liés à la rénovation énergétique.

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Les entreprises interviennent principalement sur l’installation, la maintenance et la mise en conformité des équipements électriques, aussi bien dans le résidentiel que dans le tertiaire ou l’industrie.

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Le marché reste très fragmenté et largement dominé par des TPE et PME locales, ancrées dans leur territoire et opérant sur un périmètre géographique restreint.

Les acteurs se répartissent principalement entre deux codes NAF. Le 4321 – Installation électrique représente 1 548 entreprises, soit près de 92 % des cibles, un code NAF volumineux mais relativement précis qui regroupe l’essentiel des spécialistes de l’installation électrique.

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À l’inverse, le 4329B – Autres travaux d’installation n.c.a. rassemble 126 sociétés (8 %), un périmètre plus hétérogène incluant des installateurs d’équipements techniques variés.

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Bien que secondaire, ce code peut référencer des acteurs intéressants dans une logique de recherche élargie.

La répartition géographique des 1 674 entreprises d’électricité en Auvergne–Rhône-Alpes reflète clairement la dynamique des grands pôles urbains et industriels.

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Le Rhône, avec 430 entreprises, constitue le principal bassin d’activité autour de Lyon, moteur économique de la région.

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L’Isère suit avec 294 sociétés, portée par les zones d’agglomération grenobloise et son tissu industriel dense.

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La Haute-Savoie et la Loire (156 entreprises chacune) bénéficient respectivement de l’attractivité d’Annecy et de Saint-Étienne, tandis que la Savoie (115) et le Puy-de-Dôme (116) s’appuient sur les agglomérations de Chambéry et Clermont-Ferrand.

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Les départements plus ruraux comme le Cantal, l’Allier ou la Haute-Loire présentent un volume plus limité, mais composé d’acteurs locaux bien implantés sur leur territoire.

D’après notre expérience, environ 10 % des PME du secteur pourraient être ouvertes à une opération de cession ou de transmission, soit plusieurs dizaines d’entreprises potentielles en Auvergne–Rhône-Alpes.

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Ce ratio est cohérent avec les constats issus des missions d’approche directe menées par Acquitys, où 13 % des sociétés analysées présentent des signes favorables de cession.

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Ces opportunités relèvent en grande partie du marché caché : des entreprises solides, souvent familiales, en réflexion sur la suite, mais non visibles sur les plateformes publiques.

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Une approche proactive et ciblée permet d’identifier ces acteurs en amont et d’anticiper les opportunités de reprise dans un marché régional dense, technique et très fragmenté.